(Translated from French - by computer

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Introduction of the rifle «Azur Legend Crocodile» of the workshop Verney-Carron on the night of graduation EPV in the House ST Dupont wanted to make ST Dupont reborn its bespoke in Faverges activity while gunsmith Verney-Carron, also holder of the company living heritage Label (EPV), created the workshop Verney-Carronhis workshop dedicated to the production of unique pieces. The two houses have decided to work together on a model that would express the quintessence of their respective expertise. Thus was born the rifle overhead mono-canon to Platinum "Azur Legend Crocodile.

This exception carbine, which the mechanism takes watchmaking as well as fine Armory, should also be off-standard aesthetics. The master goldsmiths and ST Dupont lacquerers reinterpreted the ground «crocodile» prized by leather goods from the 19th century to achieve, not skin, but in Chinese lacquer.

To obtain this sumptuous deep black decor, each scale the pattern need not less than 26 successive operations fill, painting, cooking, grinding and polishing. A thick layer of palladium brillant and unalterable was finally laid on the metallic parts of the book, as is the case for the famous lighters in the House.

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Présentation de la carabine « Azur Legend Crocodile » de L'Atelier Verney-Carron lors de la soirée de remise de diplôme EPV à la maison ST Dupont ◆
▷▷▷ www.patrimoine-vivant.com/fr/news/show/4
Le hasard a voulu que ST Dupont fasse renaître son activité bespoke à Faverges alors que l’armurier Verney-Carron, également titulaire du Label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV), créait L'Atelier Verney-Carron, son atelier dédié à la fabrication de pièces uniques. Les deux maisons ont donc décidé de réaliser ensemble un modèle qui exprimerait la quintessence de leurs savoir-faire respectifs. Ainsi naquit la carabine basculante mono-canon à platine « Azur Legend Crocodile ».

Cette carabine d’exception, dont le mécanisme tient de la haute horlogerie autant que de l’armurerie fine, se devait d’être également hors-norme par son esthétique. Les maîtres orfèvres et laqueurs de ST Dupont ont réinterprété le motif « crocodile » prisé par la maroquinerie du XIXe siècle pour le réaliser, non pas en peau, mais en laque de Chine.

Pour obtenir ce décor d’un somptueux noir profond, chaque écaille du motif a nécessité pas moins de 26 opérations successives de remplissage, de laquage, de cuisson, d’émerisage et de polissage. Une épaisse couche de palladiumbrillant et inaltérable fut enfin posée sur les parties métalliques de l’ouvrage, comme c’est le cas pour les fameux briquets de la Maison.
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